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J’ouvre ce sujet pour citer tous les exemples de poltiques écologistes réussie. Pour démontrer que des solutions existent et qu’il ne s’agit pas de pleurer ou de faire semblant de ne rien voir. N’héstez donc pas à poster d’autres exemples.
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Cette bourgade autrichienne de 4 400 habitants a tout misé sur les énergies alternatives, notamment l’utilisation de la biomasse. Maïs et trèfle alimentent ainsi la centrale au biogaz, qui fournit en électricité une bonne partie de l’habitat. La gazéification du bois des alentours assure l’eau chaude, et un réseau complémentaire de chauffage urbain. Au total, 35 installations, du photovoltaïque à la production de biodiesel à partir d’huile de colza, garantissent au village 98% d’autonomie énergétique. Güssing, largement aidé par les fonds européens, s’est affranchi de cette façon de la monoculture et de l’exode rural. Et a économisé l’équivalent de 120 000 tonnes de CO2.
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Le désert de Gobi avance, et sa marche soulève des tempêtes abrasives capables de décaper les voitures, de provoquer des maladies respiratoires, d’assombrir le ciel jusqu’au Japon et d’enfouir Pékin sous 300 000 tonnes de poussière - un phénomène cinq fois plus fréquent qu’il y a cinquante ans. Parmi les plus vastes du monde (1 300 000 km2), ce désert, qui s’étend du sud des steppes mongoles au nord de la Chine, menace d’ensevelir un dixième du territoire mongol et a déjà tari 700 de ses rivières. En cause, le réchauffement climatique, mais aussi l’élevage des chèvres du Cachemire, qui arrachent jusqu’à la racine des plantes, favorisant la stérilisation des sols. Pour faire barrage au Gobi, la Mongolie plante une « grande muraille verte », pour 112 millions d’euros. Dans trente ans, saules, genévriers, oliviers et aubépines dresseront un rempart végétal de 3 000 kilomètres.
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n 1994, ses diplômes en poche, l’agronome péruvien Zenon Gomel Apaza reprit le chemin de ses Andes natales pour porter la bonne parole de l’agriculture moderne aux paysans du cru. Or, arrivé dans son village de l’Altiplano, à 60 kilomètres du lac Titicaca, il découvrit que les méthodes de la « révolution verte » des années 1960 - pesticides, mécanisation et monocultures à haut rendement -avaient épuisé la terre, défiguré les paysages et appauvri les communautés. Depuis, l’agronome a redécouvert les vertus de l’ « agrodiversité » : plutôt que d’avoir recours aux produits phytosanitaires ou aux OGM, Zenon a créé une association visant à encourager la culture des plantes indigènes. Et ça marche : en conjuguant les dizaines de variétés de pomme de terre - les Andes sont le berceau de ce tubercule - aux méthodes traditionnelles de préparation des sols, 500 familles de cultivateurs andins des environs d’Orurillo et de Pucara subviennent désormais à leurs besoins, tout en respectant l’environnement.
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Exploitation forestière ne rime pas toujours avec pillage des ressources naturelles. Au Gabon, au cœur du bassin du Congo - deuxième poumon vert de la planète, après la forêt amazonienne - la Compagnie équatoriale des bois s’est ainsi engagée dans un processus de gestion durable. Cette société française exploite près de 615 000 hectares de forêt en bordure du parc national de l’Ivindo. Chaque parcelle y est minutieusement inventoriée, chaque arbre identifié et cartographié, grâce à un système d’information géographique. Celui-ci permet de tracer un réseau routier de débardage limitant les intrusions au sein de l’espace forestier - source de dérangement pour les espèces animales, notamment les gorilles et les chimpanzés qui peuplent ces sous-bois. Des abattages sélectifs épargnent les arbres d’avenir, tandis qu’une pépinière de moabis, d’okoumés et d’autres essences tropicales permettra de reboiser et d’enrichir les trouées d’abattage.
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Pour stopper, ou tout au moins ralentir, le réchauffement, il faudrait réduire les émissions de carbone de 300 milliards de tonnes par an d’ici à 2054, selon Robert Socolow, de l’université de Princeton (Etats-Unis). Ce qui équivaut à la mise en place de 15 millions d’éoliennes ou à l’installation de 300 000 kilomètres carrés de panneaux solaires, soit près de la moitié de la superficie de la France ! En dehors de la réduction de la consommation d’énergie et de combustibles fossiles, des solutions sont envisageables, plus ou moins réalistes.
Enterrer le problème. On peut se débarrasser du CO2 en le stockant sous terre ou dans les sédiments marins après l’avoir comprimé sous forme liquide. Des expériences ont été menées dans des puits de pétrole désaffectés au Texas, et des centrales thermiques équipées d’installations d’enfouissement sont en cours de construction en Norvège et en Allemagne. Le coût du stockage est évalué à plus de 10 euros la tonne d’oxyde de carbone - et l’étanchéité des réservoirs n’est pas garantie.
Planter des arbres. La végétation absorbe naturellement l’oxyde de carbone. Deux études récentes montrent toutefois que cette capacité est conditionnée par la richesse des sols, notamment en azote. L’extension des forêts aurait aussi pour effet de diminuer la réflexion du rayonnement solaire à la surface du globe : au lieu de pomper le carbone, la verdure absorberait en fait la chaleur, ce qui aggraverait le réchauffement.
Engraisser le phytoplancton marin. Comme les plantes, ces micro-organismes absorbent le CO2. Des expériences sont menées par plusieurs laboratoires dans le Pacifique pour stimuler leur croissance avec des particules de fer.
Transformer le gaz carbonique en hydrocarbures. Des chimistes de l’université de Messine (Italie) travaillent depuis 2004 sur un programme de recherche européen visant à transformer le dioxyde de carbone en carburant (méthanol, butane, propane, etc.). Objectif : mettre au point un catalyseur fonctionnant sur le principe de la photosynthèse, qui utiliserait l’énergie solaire pour réduire le CO2 en hydrocarbures. Mais aucune application à grande échelle n’est prévue avant au moins dix ans.
Polluer volontairement l’atmosphère. Le Prix Nobel 1995 de chimie, le Néerlandais Paul Crutzen, célèbre pour ses travaux sur la destruction de la couche d’ozone, propose une technique radicale consistant à créer un voile de protection thermique autour du globe, en dispersant des millions de tonnes de particules soufrées dans la stratosphère. Le physicien Edward Teller, le père de la bombe H, suggère quant à lui d’utiliser de la poussière métallique réfléchissante.
Plonger la Terre dans l’ombre. Des chercheurs de la Nasa ont imaginé d’envoyer un immense miroir dans l’espace, au-delà de l’orbite lunaire, qui ferait écran entre la Terre et le Soleil en créant une tache d’obscurité, ce qui abaisserait la température.
Réduire les flatulences des animaux. Si l’on en croit de très sérieuses études menées en Australie, les pets des animaux d’élevage représenteraient près de 10% des gaz à effet de serre. Le méthane contenu dans les émanations digestives du bétail a un pouvoir calorifique 20 fois plus élevé que l’oxyde de carbone. Un seul mouton en produit 7 kilos par an ; une vache, 114 kilos ! Une équipe du laboratoire du Csiro, à Sydney, a entrepris la mise au point d’un vaccin contre certains micro-organismes de la flore intestinale responsables de la production des gaz. Les premiers essais menés sur des ovins sont d’autant plus concluants que le traitement semble aussi favoriser la prise de poids et la production de laine.
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ans un monde où l’énergie propre est encore rare, la mer apparaît comme un réservoir infini, pour peu que l’on sache mieux en exploiter les courants - océaniques et de marées - les pressions ou encore les différences de température dans les profondeurs.
Mais la solution la plus avancée semble aujourd’hui l’énergie tirée des vagues. C’est ainsi que la société écossaise Ocean Power Delivery a mis au point une ingénieuse « centrale houlomotrice ». Concrètement, le système, baptisé « Pelamis », ressemble à un immense serpent de mer en métal rouge composé de quatre « wagons » - de gros cylindres de 24 mètres de longueur pour 3 de largeur. Une fois remorquée au large, la bête, bringuebalée par la montée et la descente des vagues, en récupère l’énergie grâce à ses modules de conversion, puis la stocke dans ses flancs. De cette façon, chaque « serpent » possède alors la capacité de générer une puissance de 750 kilowatts. « Nous devrions tester notre premier Pelamis au début de l’année 2007, au large du Portugal », annonce Rachel Browes, d’Ocean Power Delivery. A terme, les concepteurs du système espèrent constituer un parc de 22,5 mégawatts, capable de fournir en électricité 15 000 foyers, réduisant, du même coup, de 60 000 tonnes les émissions de CO2 !
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Préoccupés par la raréfaction des ressources halieutiques, scientifiques et professionnels de la pêche ont mis les bouchées doubles ces cinq dernières années pour protéger les espèces.
En développant, tout d’abord, la pêche sélective. L’objectif est d’éviter au maximum la capture de poissons et de crustacés trop petits, mais aussi de diminuer les prises annexes, rejetées à l’eau. La profession travaille ainsi sur des systèmes de grilles et de mailles carrées - déjà opérationnels pour les merlus, les merlans bleus et les langoustines, et applicables, demain, aux soles et aux lottes. Pour l’heure, de 26 à 36% des juvéniles (poissons qui n’ont pas atteint le stade adulte) parviennent à s’échapper des filets, alors que l’idéal serait de 50%. Parallèlement, l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) table sur le développement des sonars multifaisceaux, qui permettent de « voir » la composition réelle d’un banc de poissons.
L’autre priorité pour mieux protéger les espèces est l’aquaculture : à moyen terme, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le produit des fermes aquacoles mondiales atteindra 80 millions de tonnes par an, soit à peu près l’équivalent de l’effort de pêche actuel. Mais, outre les problèmes de place que pose l’aquaculture (surtout en France), il faudra du temps pour maîtriser le cycle d’élevage des 200 à 300 espèces intéressantes. Ainsi, les recherches sur le thon rouge n’aboutiront pas à une production de masse d’ici à 2010.
La date : 2048
Cette année-là, la quasi-totalité des espèces de poissons et de crustacés actuellement pêchées pourraient avoir disparu des océans, selon une étude scientifique américano-canadienne parue dans le journal Science du 3 novembre
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Takao Furuno à redécouvert une méthode de cultiver le riz qui permet aux paysans d’augmenter leurs rendements et leurs revenus, tout en n’utilisant pas de pesticides. Pour cela, il introduit sur la rizière des canards qui vont manger les mauvaises herbes et les insectes, oxygéner l’eau en remuant les fonds et produire un excellent engrais par leurs déjections. Ensuite, on peut même introduire des poissons, qui vont se nourrir du plancton créé par l’excès d’engrais naturel..
Ces trois cultures sont donc complémentaires et rapportent beaucoup plus que la culture du riz seul et sans pesticides !
Citation :
Les hôtels suédois Scandic ont entreprit depuis les années 90 de se mettre « au vert » en sensibilisant leurs employés aux problèmes environnementaux, afin qu’ils proposent ensuite des solutions pour leur lieu de travail. Maintenant, on trouve des « écorooms » avec pleins d’initiatives écolos pour diminuer la consommation d’énergie et l’utilisation des produits d’entretien chimiques, trier les déchets, proposer des « déjeuners bio », etc..
Le tout n’est pas seulement bon pour l’environnement, mais fait économiser de l’argent à la chaîne d’hôtels, qui vient d’être rachetée par le groupe Hilton, qui va sans-doute commencer à appliquer cette politique écolo à l’ensemble de ses hôtels, affaire à suivre..
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Le groupe Japonais Saraya, emploi plus de 1500 personnes et vends depuis plus de 30 ans des produits d’entretiens à base d’huile de coco et d’huile de palme, à 99,9 % biodégradables, ainsi que des savons « bio » pour ménagères.
Il l’est l’un des premiers au Japon, au début des années 90, à communiquer à ces actionnaires dans un rapport annuel des chiffres sur la consommation de l’eau, de l’électricité, du papier et de l’essence. Il s’engage à réduire la consommation de toutes ces ressources de manière drastique (de 5 à 10% par an) et y parvient chaque année.
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Safechem, une entreprise qui vendait un produit très dangereux, les solvants chlorés (qui servent à nettoyer la graisse sur les pièces métalliques) à trouvée une idée intéressante pour l’environnement et pour elle-même. Au lieu de vendre ce produit, elle vends le service de nettoyage, et grâce à un système de container, dont un est rempli du produit chloré et l’autre sert à récupérer les déchets, elle récupère plus de 90% de celui-ci. Cela permet d’éviter de rejeter ce produit dans la nature et d’économiser sa production. Tout le monde y gagne. C’est un premier pas vers une industrie, ou une chimie + verte.
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Phytorestore, une société française, propose des jardins filtrants, qui permettent de traiter les eaux-usées, les déchets organiques et même l’air pollué, à l’aide de plantes et de micro-organismes.
Aux Etats-Unis, une cinquantaine d’entreprises se partagent déjà ce marché.. et les atouts sont importants : coûts réduits (10 à 100 fois moins cher que les techniques habituelles), qualité biologique des ressources préservée, méthodes douces pour l’environnement, absence de co-produits nocifs, pollution visuelle évitée, ...
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Curitiba est la capitale de la région de Parana au Brésil. Depuis 1971, elle innove en matière de transports publics, de tri des déchets,... La politique sociale et de santé est aussi exemplaire, avec de nombreuses crèches créées et des hôpitaux ouverts 24h/24 dont certains gratuits.
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Alors que plusieurs Etats américains, grands producteurs de soja, ont déjà adopté une législation qui oblige les imprimeries travaillant pour eux à utiliser de l’encre constituée en partie d’huile de soja, deux chimistes du service de la recherche du ministère de l’Agriculture (USDA) viennent de déposer un brevet décrivant la mise au point d’une encre pour papier journal entièrement obtenue à partir de cette huile. Des expériences sont en cours pour comparer la qualité de cette encre avec celle ordinairement employée.
Selon l’USDA, l’encre 100 % soja peut être utilisée sans inconvénient pour les presses à imprimer. Elle adhère bien au papier, est facile à nettoyer, et son prix est très compétitif par rapport aux autres encres. Sa substitution à l’ensemble des encres actuellement utilisées par les imprimeurs de journaux absorberait l’équivalent de plus d’un million de tonnes de graines de soja. Un potentiel qui pourrait encore s’accroître si les chercheurs parvenaient à formuler une encre utilisable sur papier couché (plus grande qualité).
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« Transform », c’est le défi écologique unique que relève le Département du Bas-Rhin tout entier. Soutenu par les collectivités alsaciennes dont le Conseil Général du Bas-Rhin, ainsi que les Communautés Européennes, les professionnels de l’automobile et les industriels spécialisés, « Transform » vise à éliminer 685 000 pneus usagés tous les ans. 6000 tonnes de pneus non rechapables qui ne viendront plus envahir la nature ou provoquer un incendie. Les pneus récupérés seront transformés pour pouvoir être utilisés comme revêtements routiers ou comme combustible en cimenterie. Alors, déposez vos pneus usagés chez votre garagiste, ou contactez le Conseil Général du Bas-Rhin (tél. 03-88-76-67-67) pour plus de précisions.
Les huiles usagées peuvent être extrêmement dangereuses pour les rivières et les eaux souterraines. Elles risquent de polluer la nappe phréatique et d’asphyxier le milieu aquatique lorsqu’elles sont mai entreposées ou laissées à l’abandon. Il existe désormais différentes filières pour le traitement des huiles usagées qui seront réutilisées comme combustible industriel. Régénérées et purifiées elles peuvent également entrer dans la fabrication de lubrifiants nouveaux.
Le Syndicat intercommunal pour la Collecte et le Traitement des Ordures Ménagères ( SICTOM ) du Nord du Bas-Rhin, par exemple, a installé des bornes de récupération des huiles minérales usagées. Aussi, évitez de jeter vos huiles usagées n’importe où. Huiles de moteur ou huiles alimentaires, il vaut mieux les déposer dans le collecteur de la déchetterie la plus proche de votre domicile. Financées par le Conseil Général depuis 1989, les déchetteries se multiplient dans le Bas-Rhin, et très bientôt chaque habitant du département en trouvera une tout près de chez lui.
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Une piscine bio n’utilise ni chlore ni autres produits chimiques pour stériliser son eau, mais plutôt des plantes ! L’eau ainsi purifiée, à déjà conquis de nombreux (plusieurs milliers) de bassins particuliers et publiques en Suisse en Allemagne et en Autriche. La France commence tout doucement à s’intéresser à cette alternative écologique.
Une piscine naturelle/bio se compose généralement d’une zone principale de baignade (bassin de natation) et d’une ou plusieurs zones de plantations (bassins de régénération et d’épuration). La conception est faite « sur mesure » et permet des formes multiples pour tous les types de jardins.
http://domsweb.org/ecolo/piscine/piscine-bio-shema2.jpg
La surface minimale est de 50 m2 avec un idéal de 100 m2 ou plus. Plus la surface est grande, plus l’équilibre biologique sera garanti..
Il faut par contre utiliser une pompe pour remonter l’eau au début du processus de filtrage, mais vous pouvez utiliser l’énergie solaire pour l’alimenter. Le nettoyage se résume à nettoyer le fond du bassin et à tailler les plantes une fois par an. L’eau n’ayant pas besoin d’être vidangée, on ne la remplit qu’une seule fois.
Divers procédés de piscines bio existent : Bioteich, Bionova, Biotop, Élodée, etc..
Tovi
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